Des voyages réguliers des membres du comité en Inde permettent un suivi régulier des projets et de tisser un lien de confiance et d’amitié avec nos partenaires sur place.
Les projets soutenus se développent et de nombreuses interactions avec nos partenaires en Inde donnent une assise durable à ces actions, ce dont nous nous réjouissons.
Les manifestations en Suisse répondent directement au projet de notre association de promouvoir la richesse des échanges socio-culturels réciproques et horizontaux entre l’Inde et la Suisse.

Marché de Noël 2024
Surya Geneva tiendra un stand de produits artisanaux indiens au Marché de Noël du Grütli le 14 décembre 2024. Nous nous réjouissons de vous y accueillir.

Célébration des 25 ans de Surya-Geneva
Au mois de juin 2024, nous avons célébrer les 25 ans de notre association. Suite à l’Assemblée générale, ce fut l’occasion d’entendre à nouveau les musiciens bengalis dans un magnifique jardin. La vente des produits de l’association Life Education Center a permis de récolter des fonds pour la réalisation de leur site web.

Concerts Musique classique indienne
Afin de faire connaître à Genève la richesse de la musique classique indienne, nous avons organisé plusieurs concerts en 2023 et 2024. A ces occasions nous avons proposé des stands de vente des objets et vêtements du projet Life Education Center.
Nous remercions la commune d’Anières pour leur soutien financier à ces manifestations qui ont rencontrés un grand succès.

IVDC / integrated village development centre – Tamil Nadu
Une récente demande nous est parvenue d’IVDC pour financer un projet d’eau potable pour des écoliers de familles tribales de Kalrayan Hills, Salem, dans le sud de l’Inde. Suite à une rencontre en 2023 avec les porteurs du projet, le comité a décidé de soutenir ce projet pour un montant de 2350.-et de faire une recherche de fonds ultérieurement.
Les bénéficiaires de ce projet sont 3 écoles gouvernementales primaires et secondaires (le gouvernement ne finance pas l’assainissement de l’eau). L’eau est impropre à la consommation au risque de provoquer des maladies aux enfants.

Life education center – Auroville, Pondichery
Depuis 2018, ce projet s’adresse à des femmes mariées qui n’ont pas d’activités rémunérées, qui sont bien souvent rabaissées par leurs nouvelles familles. Elles se trouvent bloquées à la maison avec les enfants et les tâches ménagères. Ces femmes viennent pour la plupart des villages avoisinants Auroville, elles sont une dizaine à ce jour à fréquenter ce centre.
Pour Devi, responsable du projet au sein d’Auroville, l’aspect socioéducatif et les réflexions collectives sur le sens de la vie, sur leurs problèmes, sont au cœur du projet. De plus des cours de yoga et de détente sont régulièrement donnés et les femmes partagent leurs repas de midi ensemble.
Au sein de ce lieu sécurisant et relaxant, en pleine verdure, elles se retrouvent pour tailler et coudre de beaux habits, des sacs, des objets de décoration, dont de l’artisanat à partir de la corde de riz. Les femmes indiennes sont très fières de ce qu’elles produisent. Elles sont rémunérées selon les ventes et cela produit des changements majeurs dans leurs familles, car elles rapportent de l’argent et sont de fait mieux considérées. Les ventes se font dans les boutiques d’Auroville, mais il faudrait pouvoir vendre davantage pour accueillir plus de femmes et pouvoir ainsi, par le bénéfice de la vente, obtenir suffisamment de fonds pour rémunérer les nouvelles venues. Ce projet est une petite entreprise sociale et solidaire qui ne demande qu’à s’agrandir. Pour la développer, Surya a décidé d’investir dans l’achat d’artisanat afin que de nouvelles femmes puissent participer au projet. Le bénéfice des ventes en Suisse sera reversé à l’association indienne, afin de créer un site web pour se lancer dans la vente par correspondance.

Centre for the Development of Rural Women – Mugaiyur, Tamil Nadu
Centre for the Development of Rural Women, projet soutenu pour la rénovation d’une école primaire en Inde.
Kodungal est un petit village où vivent 475 familles. La grande majorité des familles sont des journaliers, des ouvriers non qualifiés qui travaillent dans les fermes. Leurs travaux sont saisonniers : il y a peu de travail dans le village. Les familles ont donc du mal à nourrir leurs enfants, même deux fois par jour. Leur vie se situe en dessous du seuil de pauvreté.
Une école intermédiaire entretenue par l’église catholique existe depuis très longtemps. Mais le bâtiment est très endommagé et les enfants ne peuvent plus rester dans les classes. Les cours sont donc dispensés à l’ombre des arbres dans l’enceinte de l’école.
Nous avons visité cette association lors d’un voyage en 2022 et avons décidé de soutenir la rénovation de l’école du village au vu du fort engagement des membres de l’ONG CDRW, de la pédagogie très active portée par les enseignants et du nombre important d’enfants fréquentant cette école non gouvernementale.
Nous remercions infiniment la commune d’Anières qui a soutenu ce projet à hauteur de chf 3480.- Ainsi grâce à ces fonds, les travaux de rénovation ont pu démarrer en 2022 et se sont terminés en mars 2023.
C’est plus de deux cents enfants qui ont retrouvé le chemin de l’école et qui peuvent profiter d’une école solide prête à les abriter des hautes températures et de la mousson.
En 2023, nous avons soutenu une nouvelle demande pour subventionner la création de toilettes pour les filles de l’école. Suite à une nouvelle visite en 2023, Surya-Geneva a décidé de subventionner la moitié des travaux dédiés à la construction des toilettes et s’est engagée à chercher des fonds externes pour finaliser ce subventionnement de chf 4500.-.

Street social work – Santiniketan, West Bengal
Santiniketan, « Asile de paix », lieu où est implantée l’université de Tagore, possède un nombre important de structures sociales. Mais il reste dans les villages avoisinants de grandes poches de pauvreté et le constat reste que nombre de personnes démunies ne savent ou n’osent pas s’adresser aux structures de soutien existantes. Une intervenante sociale, Tolpar, en lien avec Surya-Geneva, a créé en 2022 un carnet d’adresses de toutes les associations, ONG, structures sociales, hôpitaux ou centres médicaux de la région. Une fois cette étape réalisée, en février 2023, celle-ci se consacre maintenant à aller à la rencontre des plus pauvres et délaissées, et leur parle de ces structures qui pourraient les soutenir. Elle fait le lien direct, par téléphone, ou accompagne les personnes si nécessaires. Tolpar possède de grandes qualités relationnelles, elle est fort bien accueillie dans les villages et par son engagement et son empathie, elle acquière rapidement la confiance des personnes démunies. Ce projet se poursuit depuis 2022 et est évalué chaque année.

Street social work in Santiniketan – Exposition de photographies
Présentation du projet Street social work par Tolpar.
Haute Ecole de Travail social (HETS) – Rue Prévost-Martin 28.
Surya-Geneva, association qui a pour but de soutenir des projets socioculturels en Inde et encourage les échanges culturels entre l’Inde et la Suisse, a le plaisir de vous présenter l’un de ses projets en Inde, sous la forme de cette exposition photos.
Tolpar, une travailleuse sociale hors murs, a réalisé durant trois mois un repérage de la plupart des services sociaux, éducatifs et de santé dans la région de Santiniketan, au Bengal occidental.
En effet, après plusieurs visites à Santiniketan – nom du bourg qui signifie en Bengali « asile de paix – sur lequel s’érige en pleine nature l’université de Tagore, avec laquelle Surya-Geneva a déjà conduit plusieurs projets socioéducatifs, nous avons observé que les personnes les plus démunies ne connaissent pas l’existence des lieux caritatifs ou n’osent tout simplement pas s’y rendre.
Tolpar se rend dans les villages en vélo ou à pied et lorsqu’elle croise une personne ou des familles en difficulté, elle s’arrête, explique son projet et donne un document papier qui retracent les adresses principales des lieux sociaux.
Elle écrit chaque semaine sur des flyers les infos avec adresses et numéros de téléphone et les distribue au gré de ses rencontres. A chaque fois elle prend le temps d’expliquer sa démarche, clarifie avec les personnes leurs besoins et les oriente. Elle organise des rendez-vous directement par téléphone quand ses interlocuteurs.trices le lui demande. Parfois, elle les accompagne sur les lieux pour une première rencontre, afin de casser les barrières psychologiques ou dûes à l’illettrisme ou à d’autres difficultés.
Sa gentillesse, sa bienveillance et sa simplicité lui permettent d’entrer très facilement en contact avec ces publics trop souvent délaissés. Régulièrement elle prend des photos des personnes avec qui elle établit un lien pour les envoyer à Surya-Geneva qui finance ce projet.
Ce sont quelques-unes de ses nombreuses photos que l’association Surya-Geneva a choisi de mettre sous cadre afin de faire connaître ce projet emblématique d’une action hors les murs.
Si vous êtes intéressé par l’Inde, ses richesses culturelles, la pensée de Tagore, les projets de développement, et que vous souhaiteriez en savoir plus, alors n’hésitez pas à nous contacter.
L’association Surya-Geneva serait heureuse d’accueillir de nouveaux membres et de renforcer son comité.
Voir l’expo en ligne ici.

Marché de Noël 2023
Nous serons présentes le samedi 16 décembre au marché de Noël du Grütli. Au plaisir de vous y voir!
Vente sociale et solidaire
Vente sociale et solidaire.
Chez Joëlle et René, rue centrale 6, 1247 Anières, le samedi 28 octobre.
Interview de Joëlle Libois du 1er juin 2022 à l’émission ligne du cœur de la RTS, concernant la publication de son ouvrage « Présences de Tagore ».
Voici le lien de l’émission.
Célébrations pour la sortie du livre Présences de Tagore de Joëlle Libois
Par-delà les cimes de la poésie de Rabindranath Tagore, Joëlle Libois nous invite à poser un regard curieux et attentif sur des aspects moins connus de son œuvre. Elle sensibilise le lecteur à sa pédagogie de l’éveil au monde, à son exigence pragmatique de justice sociale et à une conception de l’écologie marquée par la majesté de l’émerveillement. Le lien pour s’inscrire à l’évènement se trouve ici.
Joëlle Libois, directrice de la HETS, récompensée pour son travail et ses publications en lien avec l’Inde
Le 26 janvier, à l’occasion de la célébration de la fête nationale indienne et du 75ème anniversaire de l’Indépendance de l’Inde, Joëlle Libois, directrice de la HETS, a été honorée pour sa contribution et ses travaux en lien avec ce pays. Au cours de la cérémonie, qui s’est déroulée à la India House à Chambésy en présence de représentants de la communauté indienne de Genève, Madame Libois a reçu un châle traditionnel des mains de S.E. Monsieur Indra Mani Pandey, représentant permanent de l’Inde auprès des Nations Unies à Genève.
Passionnée par ce pays depuis de longues années, Joëlle Libois a notamment fondé en 1999 l’association Surya-Geneva, qui promeut des projets sociaux-éducatifs en Inde et encourage les échanges culturels entre l’Inde et la Suisse. En particulier, la structure Shantosha Nanban à Pondichéry accueille plus de soixante enfants orphelins ou abandonnés par leurs familles, qui sans cette association reconnue par les autorités locales ne pourraient que difficilement survivre aux très rudes conditions de vie de la rue.
Cette distinction coïncide avec la parution aux Editions ies du livre Présences de Tagore. Eveil au monde et action communautaire, dont Joëlle Libois est l’auteure. A l’aube de l’indépendance de l’Inde, Rabindranath Tagore, poète indien, s’est engagé à travers sa prose, l’éducation et l’action communautaire à soutenir les populations rurales les plus défavorisées. Dépassant les frontières, refusant toutes les formes de discriminations, Tagore est un précurseur du travail social en Inde. Son approche à la fois poétique et virulente, locale et globale, artistique et socioéconomique nous entraine dans des contrées peu connues, voire originales du travail social, qui s’articulent étonnamment aux enjeux actuels de la précarité, des discriminations, du repli sur soi, de la consommation effrénée.
Shantosha Nanban (amitié et joie) – Puducherry
La structure Shantosha Nanban à Pondichéry dans le sud de l’Inde, accueille plus de soixante enfants de la rue. Ils sont orphelins ou abandonnés par leurs familles, et sans cette association reconnue par les autorités locales, ils ne pourraient que difficilement survivre aux très rudes conditions de vie de la rue. Une attention est particulièrement donnée aux filles qui se trouvent en situation de grande vulnérabilité. La structure permet de fournir aux enfants de la rue un lieu d’accueil d’urgence, et pour ceux qui ne peuvent retrouver une stabilité familiale suffisante à court terme, Shantosha Nanban offre un foyer en campagne, lieu de vie communautaire leur permettant d’expérimenter une nouvelle vie stable en lien avec la nature, tout en développant leur expression artistique et culturelle, selon les préceptes de Tagore.
Aujourd’hui, la création de la maison des filles à Vilianur (district de Pondichéry) n’a pas pu se réaliser faute de l’autorisation de construire sur une parcelle de terrain trop exiguë. Un nouveau terrain est en passe d’être acheté au sud de Pondichéry. Notre association reste très intéressée à subventionner un lieu d’hébergement pour les filles, d’autant que la législation locale s’est renforcée dans le sens de l’obligation de séparation filles-garçons dans les lieux de vie.
Les enfants de l’association Santhosha Nanban sont aujourd’hui initiés par nos soins à la pratique de l’ultimate frisbee. Des compétitions s’organisent au niveau mondial et l’Inde est déjà très engagée dans ce nouveau sport très attractif. Ce jeu est particulièrement intéressant par le fait que les parties sont auto-arbitrées, sans contact, et que les équipes sont mixtes. Un sport technique, tactique, physique et fun que les enfants apprécient tout particulièrement qui ne demande pas de matériel spécifique si ce n’est un frisbee.
Cela fait plus de 15 ans que nous soutenons le projet Santhosha Nanban, (amitié -joie) qui se trouve à Pondichéry, en Inde du sud. Cette ONG qui a accueilli un nombre très important d’enfants des rues et a pu par la suite héberger ceux qui n’ont aucune famille ou que celles-ci ne veulent plus ou ne peuvent plus les garder auprès d’eux, dans son nouveau centre à Villianur.
Aujourd’hui nous sommes dans le profond chagrin d’annoncer le décès de la co-fondatrice du lieu, Manglorine Libois ou Banu pour ses proches. Son mari, Philippe Libois est retourné dans son pays d’origine, la Belgique, après plus de 30 ans en Inde. C’est donc un nouveau tournant à prendre pour ce projet que nous avons soutenu avec conviction et enthousiasme, tant la pédagogie, très libre et créative auprès des enfants, correspondait à nos valeurs et à la philosophie de Tagore.
Aujourd’hui seule la crèche est encore ouverte.
Depuis 2022 de nombreuses discussions et questionnements sur place et au sein des deux associations, Surya-Geneva et les Gônes de Santhosha, basée à Lyon, se déroulent sur l’avenir des enfants encore en place et des anciens devenus jeunes adultes.
Keno noi plastic – Santiniketan, West Bengal
Le projet de prévention Keno noi plastic (“pourquoi vous devez dire non au plastic” en Bengali), ou Plastic bags prevention, est un programme de sensibilisation qui se situe au West Bengal. Il vise à informer les élèves des écoles primaires et secondaires sur les conséquences de la consommation effrénée de plastique à usage unique dans la vie quotidienne. Suite à une campagne de sensibilisation d’une durée d’une année, on s’attend à ce que les élèves et étudiant.e.s soient non seulement en mesure d’évaluer les conséquences de la prolifération de ce type de plastiques, mais aussi de faire prendre conscience à leurs communautés respectives des dégâts environnementaux de longues durée que crée l’utilisation des sacs plastiques ou autres objets en plastique rejetés dans la nature. La vidéo correspondante se trouve ici.
Projet repris dès 2021 par le Département de travail social de l’Université Visva Bharati.
Le cercle francophile français à Santiniketan
Un cercle francophile en Inde. L’association Surya-Geneva défend des projets qui permettent une meilleure connaissance réciproque des cultures indiennes et francophones. Elle se veut une plateforme qui favorise les échanges entre différentes cultures de manière égalitaire et horizontale. Il importe autant de faire connaître la richesse de la philosophie indienne en Suisse romande que de fournir un accès facilité à la culture francophone en Inde. Cela rejoint le projet d’université internationale crée à Santiniketan par Rabindranath Tagore, la Visva Bharati University, institution de renommée mondiale qui accueille des étudiant.e.s de toutes les cultures. C’est en ce lieu que nous avons créé le cercle francophile animé par une femme bengalie, Mira Ghosh, qui a elle-même appris le français à la Visva Bharati et est spécialiste des chants de Tagore. Elle organise des rencontres conviviales gratuites dédiées à la culture française, ouvertes à toutes personne intéressée, avec une participation allant d’enfants de familles défavorisées à des personnes âgées passionnées par le projet. Les chants traditionnels de Tagore sont également convoqués lors des rencontres. Le projet vise tant à mieux faire connaître, en Inde, les valeurs de la francophonie et de la langue française, qu’à enrichir la connaissance de la philosophie du Poète, en Suisse.
Vu l’âge avancé de Mira Ghosh, ce projet s’est arrêté.
Repas indien pour les personnes démunies au Bateau-Genève
L’association prépare deux fois par année un repas indien pour les personnes démunies qui a lieu à l’accueil du dimanche soir au Bateau-Genève. Ce repas indien servi à une centaine de personnes offre un voyage gustatif très apprécié par les convives. C’est aussi une manière concrète de faire connaître la culture indienne à des personnes qui ont peu l’occasion de voyager ou de se rendre dans des restaurants. Cela permet des conversations sur la nourriture, sa provenance, et rappelle des souvenirs marquants à certains passagers-bénéficiaires du lieu d’accueil Bateau-Genève, qui par le passé avaient « fait » la route des Indes.
Fabrication de marionnettes par des enfants indiens et des requérants d’asile en Suisse
Un atelier d’art-thérapie a permis à des enfants d’un foyer de New-Dehli de partager et d’échanger leurs œuvres avec un atelier similaire organisé au foyer de requérants d’asile d’Anières. Ce partenariat a été finalisé avec des spectacles dans les deux pays, mélangeant les marionnettes d’ici et de là-bas.
Soirées culturelles et culinaires dans les maisons de quartier sur l’Inde et sur l’œuvre de Rabindranath Tagore.
De nombreuses manifestations culturelles nous ont permis de faire connaître nos actions et projets en Inde. Ces soirées ont été agrémentées de spectacles de danses indiennes présentées par des professionnels vivant en Suisse et accompagnées de lectures de textes du poète. La restauration indienne est préparée par les membre de notre association.
Bourses pour étudiant.e.s
Ces soutiens ont été consacrés à l’étude de la culture indienne, et plus spécifiquement à des recherches sur l’origine des populations gitanes qui vivent en Inde et sont originaires de l’Europe de l’est, dont certaines résident en Suisse. Ces voyages ont permis la découverte de communautés gypsies indiennes proches par les racines linguistiques et leurs modes de vie des populations gitanes d’Europe.
Stages d’étudiant.e.s issus de la Haute Ecole de Travail social (HETS) de Genève
Les stagiaires en travail social ont la possibilité de réaliser leur formation pratique de 5 mois au sein de nos projets et partenariats universitaires. Déjà 4 stagiaires se sont lancé dans cette aventure hors du commun. Leurs rapports de stage illustrent la richesse des découvertes et des échanges interculturels. Lien vers la vidéo ici.
Participation à des fêtes de quartier ou à la fête de la musique
L’association est présente pour préparer et vendre des thalis, plat typique indien servi comme « plat du jour » dans toute l’Inde, dont la composition diffère d’une région à l’autre.
Exposition de photographies – Sourires indiens
Une exposition de photos Sourire à Surya au bar de la Bretelle ainsi qu’à la HETS, a permis de faire connaître non seulement notre association mais aussi toute la beauté des sourires d’enfants indiens à travers une rétrospective des voyages de nos membres.